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[Ecrit par Matt Denault pour la version 3 de la FAQ]. Ce qui suit est essentiellement tiré du livre de Nicholas Schaffner "A Saucerfull of Secrets" avec quelques ajouts provenant d'autres livres, d'interviews ou d'articles. 1983 : Pendant et après l'enregistrement de "The Final Cut" il est devenu clair qu'il n'y avait plus de solution et que Roger et David n'enregistreraient plus jamais ensemble. Les différences artistiques et personnelles entre les deux hommes étaient devenues trop fortes. Que cela signifie la mort de Pink Floyd ou non, la question restait flou. tout ce que l'on pouvait dire c'est que le groupe n'allait pas continuer avec les mêmes membres. Mais il n'y a jamais eu d'annonce officielle de séparation du groupe ou d'éclaircissement sur les intentions des uns et des autres. Roger et David laissaient les portes ouvertes pour de futurs projets. 1984 : Donc suite à la sortie de "The Final Cut", Roger parti et se lança dans son album "qui aurait pu être fait par le Floyd" : "The Pros and Cons of Hitch Hiking", tandis que David travaillait à son propre album "About Face". Les deux sortirent en 1984 et tous deux arrivèrent dans les 30 premières places du Billboard (un des Top 50 américains). A l'époque David déclarait : "Il en reste trois dans ce qu'on pourrait avec humour appeller "Pink Floyd" et aucun d'entre nous n'a envie, pour le moment, de travailler avec les autres sur aucun projet". (Les trois en question étant Roger, David et Nick). [ JME : même si "l'appartenance" de Nick au groupe à la fin de l'enregistrement de "The Final Cut" reste un point discutable du fait de son remplacement sur deux titres par un autre batteur. ] Gilmour et Waters s'embarquèrent tous deux dans des tournées mondiales, qui, ni l'une ni l'autre ne se révéla financièrement profitable. David déclara : "J'ai fait ce disque et cette tournée pour voir s'il était possible pour moi de continuer sans Pink Floyd". 1985 : Roger prolongea sa tournée en 1985, tandis que David consacra son énergie à travailler sur d'autres projets pour et avec d'autres musiciens. Mi 1985, Waters décida de rompre le contrat de management qui le liait à Steve O'Rourke, qui faisait pression sur lui pour sortir un nouvel album de Pink Floyd. Comme Steve O'Rourlke était le manager de Pink Floyd et comme le Floyd n'avait pas été officiellement dissous Roger lui était toujours contractuellement lié. Dans le but de rompre cette obligation, il avait besoin de l'accord de David et de Nick qui étaient aussi décisionnaires dans le groupe. Dans ce but, Il leur offrait tous les droits sur le nom "Pink Floyd" (il déclara plus tard qu'il l'avait fait sans réfléchir aux conséquences éthiques que cela impliquait). A aucune condition, ni David ni Nick n'accepta de démissionner O'Rourke. [ JME : dans l'histoire, il faut savoir que Pink Floyd était géré par le partenariat entre les membres du groupe plus O'Rourke, au sein de l'entité "Pink Floyd Music Ltd". Wright fut exclu du tour de table en 1980. Pour la sortie de "A Momentary Lapse of Reason" les trois membres restant montèrent donc une nouvelle structure "Pink Floyd Music (87) Ltd pour gérer les droits des nouvelles parutions. ] Roger décida donc que pour sortir de cet imbroglio, il serait plus simple de quitter le groupe officiellement, déjà qu'il avait officieusement, pensé que le groupe était fini ; ou tout du moins qu'il le serait s'il le quittait. Donc, en Décembre 1985, Roger écrivit aux maisons de disques pour annoncer son départ de Pink Floyd. Toujours à l'automne 1985, Mason déclarait qu'il aimerait de nouveau tourner avec Pink Floyd, et que David et lui étaient "intéressés par l'idée de faire revivre Pink Floyd ... Nous sommes fermement convaincus que rien n'est terminé". 1986 : Alors que Roger Waters sortait (l'assez rare) musique du film d'animation "When the Wind Blows" et entamait le travail sur "Radio KAOS", Gilmour se lançait dans un projet qu'il déclarait publiquement concevoir, soit comme un album de pink Floyd, soit en album solo. Mi-1986, Steve O'Rourke porta plainte contre Waters pour non paiement de commissions. Ceci ne fit rien pour améliorer les relations de Waters d'avec les membres restants de Pink Floyd (avec qui Steve restait associé). Gilmour, travaillant avec Mason, Wright, Bob Ezrin et une brochette d'autres avaient alors décidé qu'ils sortiraient effectivement leur projet en tant que Pink Floyd. Ayant vent de ce travail en cours, Roger porta l'affaire devant la Haute Court le 31 octobre 1986 pour voir le partenariat du groupe, et donc le groupe, officiellement dissous. Plusieurs jours plus tard, le 11 Novembre 1986, Pink Floyd (c'est à dire Gilmour et Mason, "avec Rick Wright et le producteur Bob ezrin") annonçait publiquement qu'ils travaillaient sur un nouvel album. Mais, découvrant que l'entité du partenariat constituant "Pink Floyd" n'avait pas lui même d'existance légale, (et que donc chercher à le faire casser n'aurait aucune incidence), Roger demanda à la court de rendre un jugement déclarant que l'unanimité des membres (y compris Waters) serait requise pour toute décision relative à Pink Floyd Music y compris l'usage du nom, des gadgets de concerts (comme l'écran circulaire ...) etc ... La Court ne rendit jamais de jugement sur ce propos, et entre temps "A Momentary Lapse of Reason" était sorti. Il fit un grand ramdam public, mais en privé, ses avocats lui expliquèrent qu'il avait peut d'arguments valables, et qu'il ferait meiux d'accèpter un compromis : David et Pink Floyd accèptèrent de laisser à Roger l'entière responsabilité du concept théâtral "The Wall", et évidement lui verser des droits d'auteur pour toute chanson qu'ils joueraient sur laquelle Roger est crédité. Et tandis que Pink Floyd conservait l'usage libre de l'écran circulaire et d'autres éléments de concerts (hors "The Wall"), ils durent donner à Roger un crédit pour le "Concept ORiginal du Cochon" utilisé sur "one of theses Days" ... C'est à peut près tout ce que l'on peut dire sur le sujet. Matt a volontairement omis quelques points (les implications de Ezrin et de Wright, les réunions des maisons de disques ...) qui n'ont pas d'implications légales ; toutes infos qui peuvent se trouver dans les articles disponibles sur Internet. Leur interêt et dans quelle mesure ils aident à se souvenir à quel point Pink Floyd était "super" est laissé à votre appréciation personnelle. |

Seules les premières versions de la pochettes ne furent pas censurées (un bandeau noir sur le postérieur
de l'auto-stoppeuse barre les pochettes ultérieures). Il y a aussi des différences entre les paroles imprimées sur les pochettes. La première, c'est que l'édition anglaise indique le nom de tous les intervenants tandis que ce n'est pas le cas sur l'édition US de CBS. Voici un tableau de détail originalement posté par Dave Cowl :
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Fassbinder est un metteur en scène et cinésate allemand.
On le surnommait "artsy" ; "grim" ou "simplified". Le couplet doit faire allusion
au type de femmes qu'il utilisait pour ses premiers rôles, ou tout simplement vouloir
exprimer "tristesse" ou "qui donne envie de pleurer". |
D'après une explication de Roger Waters : "certaines idées proviennent de mes rêves ou de rêves
d'autres personnes. En fait, le troisième couplet de la chanson "The Pros and Cons of Hitch Hicking"
parle d'un type qui se tient sur l'aile d'un avion, qui regarde la côte est des USA et Yoko Ono
est là, me demandant de sauter ; que tout le monde va mourrir un jour et que le meilleur moment pour
le faire c'est maintenant et comme ça. Ce rêve me vient d'Andy Newmark, notre batteur. Il est venu me voir un jour alors que je mangeais dans un pub et il m'a raconté son rêve. J'ai alors pensé que c'était un bon rêve et que j'allais essayer de placer ça quelque part. Ce que j'ai fait." |

Effectivement, il n'est pas sur le disque, et comme les roios ne sont pas tous excellents
il est assez difficile de décrypter les paroles exactes. Mais en voici une bonne approximation : Ooh Babe, where ya been? You bring back the feeling The flavor of damp teenage skin And hot afternoons by the river Spent crushing the clover I said "Lie down, roll over I wanna go back there again" Oh baby, sweet Fassbinder lady Ooh, where ya been? De même, au cours de plusieurs concerts, après "Sexual Revolution", ils ajoutaient un petit morceau consistant essentiellement de la phrase "Let's go to the country" répétée plusieurs fois. |

La pochette est assez simple à déchiffrer. Il y est écrit : ROGER WATERS RADIO KAOS WHO NEEDS INFORMATION THE POWERS THAT BE HOME THE TIDE IS TURNING RADIO WAVES Le code morse au début et à la fin de l'abum est plus dur à déchiffrer. Mais ils est toutefois intéressant de s'y ateler car il s'agit d'un couplet perdu de "The Tide is Turning" (voir point suivant). Il y aussi des bouts de morse épars tout au long de l'album Voila ce que différentes personnes ont pu décrypter : ( par Douglas Whisler, A.G. Spencer et David Truckenmiller) - "turning Syl" (au début de l'album) - "macho bullshit and mediocrity oh tide" (à la fin de l'album) - "it is they that must fight and die ... Herbert Hoover" (à la fin de "Who Needs Information") - "dock ... oh time(?) is turning ... the party's over but you are not" (pendant le speech "I don't Like Fish") |
On disait qu'un couplet avait été retiré de la chanson "The Tide is Turnin"
car Roger Waters avait craint des poursuites judiciaires. Il en chanta occasionnellement
une partie (du moins les deux dernière lignes) en concert. Les paroles en sont les suivantes :
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D'après la rubrique "Question/Réponses" de TAP (#53) : D'après "Psycho Pink" Eric Wayne Morrison (Colorado Springs) il s'agirait de "...back to the beginning" et "That's...". "... retour au début" et "c'est le ..." [ JME : suivant le même concept cyclique que "The Wall" ] |
Roger appréciait tellement le concept de K.A.O.S que lors d'une pause
au cours de la tournée, il commençat l'écriture pour un nouvel album
avec Billy et Jim qu'il comptait intituler "Amused to Death". Lors de la reprise
de la tournée K.A.O.S ROger déclara qu'il allait jouer des nouveaux morceaux
en cours d'écriture pour K.A.O.S 2, mais le seul nouveau matériel joué en concert
fut "Fish Report with a Beat" et "Going to Live in LA". Puis Roger écarta ce dernier
morceau, au moins pour son nouveau projet (elle avait été écrite pour Radio K.A.O.S à l'origine). La rumeur courru que l'album sortirait au début de 1989, avec une couverture de Gerald Scarfe caricaturant trois musiciens familiers trempant dans un verre de Martini géant. Mais l'album fut refusé par la maison de disque puis par ROger lui-même. La suite n'est que suppositions. dans une interview pour Rockline à l'époque de la sortie de "Amused to Death" Waters déclara qu'il avait travaillé sur des morceaux les quatre ou cinq dernières années (avec une interrruption probable pour travailler sur le projet "Ca Ira"). Dans un auter artcile on lit que la grande partie de l'album a été écrite et conçue avant la guerre du Golfe. On peut donc pense qu'un partie du matériel destiné à K.A.O.S 2 a été refondu dans le nouveau concept "TV" de "Amused to Death". Mais rien n'est certain... |

Un concert d'une telle envergure ne pouvait se dérouler sans problèmes.
Le concert commença toutefois très convenablement, avec les groupes
assurant l'introduction (Les Hooters, au cas ou vous vous soyez demandé
pourquoi ils étaient crédités au générique, tout comme James Galway et The Band)
puis les Scorpions avec "In the Flesh". Mais les micros cramèrent pendant
"The Thin Ice" et Roger ne pu que faire de grands signes à la foule
et faire semblant de danser pour contenir la foule. Ils réussirent à
retrouver des micros qui fonctionne à peu près au milieu de "Another Brick in the Wall part 1"
mais uniquement avec un niveau très faible, la foule hurlant périodiquement "Plus fort, Plus fort".
La pleine puissance ne fut retrouvée que pour "Empty Spaces" et le concert continua sans autre défaillance. Le deuxième problème connu est arrivé sur Sinead O'Connor lors de "Mother". Tell qu'on me l'a raconté The Band devait chanter le refrain mais elle a perdu le fil de la chanson et s'est mise à chnater le couplet suivant ! Ces petits soucis furen gommés sur l'album et sur la version disque en insérant des prises réalisées les jours précédents lors des répétitions générales et grâce à une deuxième prise réalisées dans l'urgence juste après la diffusion officielle. |

AL voix que l'on entend dans "Amused to Death" d'un homme qui tente de
sauver son camarade est celle de Alf Razel, un vétéran de la première guerre mondiale.
VOus trouverez ci-dessous des éléments de son histoire (apparemment tirés
d'un documentaire duquel ROger Waters a du extraire les éléments audio) : Alf Razel avait la charge de colelcter les portefeuilles des soldats décédés, où qu'ils soient (dan sun but d'identification probablement) et généralement les corps devaient être retournés pour pouvoir atteindre leur poche. On voyais en générla de quoi l'homme était mort. Il y en avait qui étaient décervelés, le visage complètement arraché et la plupart du temps il marchait sur les boyaux des morts. Les Allemands avaient attrapé Ralf et l'avaient amené dans une tranchée où se trouvait Bill. Les Allemands ne l'aidèrent pas du tout. Bill avait un trou béant dans le dos, qui laissait voir ses boyaux, sali pas de l'huile, du charbon et toue la merde qui trainait dans les tranchées. Les Allemands voulaient qu'Alf emmène Ralf avec lui et qu'il fasse vite, mais du fait des insultes Bill ne put le supporter, et les Allemands se faisant de plus en plus impatients et violents il se résolu à le laisser derrière lui. La mort dans l'âme. Mais tout n'est pas si noir. Alf semble en bonne santé pour un vieil homme de 90 ans. Il reconnait que la guerre était complètement inutile. A la fin de chaque guerre, tout le monde s'assiet autour d'une table et arrive à trouver un consensus. Pourquoi ne font ils pas cela avant la guerre ? |
Il est vraiment (VRAIMENT) très difficle de déchiffrer le message.
Il est donc impossible d'être sûr à 100% de la transcription ci dessous : Julia, (pause) however, (pause - 2ème coup de tonnerre quand on écoute à l'endroit) In the light and visions of the issues of Stanley, (pause) we changed our minds. (pause) We have decided to include a backward message, (pause - 1er coup de tonnerre quand on écoute à l'endroit) Stanley, (pause) for you, (pause) and for all the other book (courte pause) partners. [ phrase, hurlée, très fort, avec un énorme bruit ] L'anecdote derrière ce message est la suivante : Waters avait demandé à Stanley Kubrick l'autorisation d'utiliser des dialogues et des effets de respiration de son film "2001 : L'Odyssée de l'Espace" sur un de ses albums. En particulier, Waters voulait utiliser le passage de la déconnexion de HAL : HAL: Dave, my mind is going...I can feel it...I can feel it...My mind is going...There is no question about it...I can feel it...I can feel it...I can feel it...I'm afraid... Mais Kubrick ayant refusé, Waters créa sa propre ambiance de respiration et enregistra ce message à l'attention de Kubrick. Dieu seul sait s'il l'a jamais entendu, et s important, s'il y prête une quelconque importance. |
[ Traduction assurée par Fady Alajaji ] Certaines phrases on été très difficiles à comprendre car elles sont dites très rapidement, en fond sonore, derrière un tempo de batterie rapide. J'ai malgrès tout fait de mon mieux pour traduire ce que j'ai pu attraper au vol (même si ce n'est pas parfait) : A la fin de la chanson, pendant que Roger chante : "And in Tripoli, another ordinary wife [....] in the street below" En fond sonore, une femme crie en Arabe egyptien. De toute évidence, elle se plaint à son mari et l'accuse de ses souffrances : " ... et alors ? Pourquoi est-ce que tu ne m'aides jamais ? Tu me laisse tout le temps seule à la maison et tu sors avec tes gros amis pour des discussions sans fins et sans utilité ... Je travaille pour toi et pour ta famille, de l'aube au coucher du soleil et tu t'en fout ! J'ai vriament besoin de me reposer, j'espère juste que l'ange de l'enfer va passer rapidemetn et m'emmener avec lui ..." A ce moment la batetrie commecne et ça devient très chaotique. Il y a de nombreuses voix en fond sonore. J'ai pu distinguer une commentateur télé (ou radio) sans comprendre de quoi il parlait et au même moment une foule qui scande des slogans en arabes. Je n'ai pas pu comprendre tout ce qu'ils disaient mais j'ai récupéré ça : "... est grand ; ... est grand ... ; Dieu est grand Mort, mort, mort aux (impérialistes ?)" Je ne suis pas certain du mot impérialistes. Peu importe, c'est le sens général. Je pense qu'il s'agit d'une manifestation de Muslumans intégristes sans en être absolument sur. A la fin de la partie de batterie, juste avant l'explosion du missile, la voix du commentateur tv (radio ?) devient plsu claire et il dit : " ... il passe rarement ses journées à la maison ... tandis qu'elle, elle reste seule à la maison ... alors que tous les hommes convergent vers le quare, elle reste seule face à sa solitude et ... BBBBBOOOOOOUUUUUUMMMMMMM" C'est tout. JE tiens à précuiser que cette traduction n'est pas absolument exacte, et pas mot à mot. L'arabe ne peut pas être traduit mot à mot en anglais car cela n'aurait pas de sens. Je pense toutefois que la traductione st 90% fidèle. De toutes façons, je pense que Roger a piqué ces passages dans un film Egyptien et les a mixées dans sa chanson. Je sui scertains qu'il s'agit d'Arabe Egyptien et non Lybien comme cela aurait du être le cas puisque que la chanson parle du bombardement de Tripoli, la capitale du Liban. |
[ en remerciant Adam Floro ] : D'une manière générale, il n'apprécie pas la musique de Andrew Lloyd Webber et ne s'en cache pas. Mais il y a en particulier un passage dans "Le Fantôme de l'opéra" qui montre une similarité avec un passage de "Echoes". Les premières notes du "Fantôme ... " (deuxième morceau, premier disque) sont Do# ; Do ; Si ; Sib ; A ; Do#. Ce qui est extrêment proche d'une partie de "Echoes" (approximativement de 06:06 à 06:16). Tandis que ROger était particulièrement faché par cette similitude, des Echosiens ont démontré que cette progression était plutôt répandue ; en tout cas aucunement une marque de fabrique du Floyd. Toutefois, les dates de parution peuvent plaider en faveur du plagiat, même si cela est improbable, Webber ayant utilisé la mélodie pour la première fois dans le film "Gumshoe" sorti en décembre 1971. Meddle est sorti ne novembre 1971, le Floyd ayant commencé à jouer "Echoes" en concert à partir du 22 avril 1971. |
La télévision. Plus précisément, un livre de Neil Postman intitulé "Amusing Ourselves to Death :
Public Discourse in the Age of Show Business." C'est un livre qui qui a reçu de bonne critique et qui vaut d'être lu. Pour ceux que cela intéresse voici les informations de publication : (broché: New York: Viking, 1985; ISBN: 0670804541) (cartonné: New York: Penguin, 1986; ISBN: 0140094385) [ JME : et aussi ce lien vers la Wikipédia : http://en.wikipedia.org/wiki/Neil_Postman ] Ce livre parle de la télévision et de ses répercutions sur la société (américaine). Postman est un pessimiste et sa vision de la télévision n'est pas otpimiste, mais assez pertinente.
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